
Cette année, notre association participera au Forum organisé par la municipalité le samedi 6 septembre.
Notre stand sera situé en extérieur à l’entrée de l’Ogive.
Venez nous y rejoindre !
Cette année, notre association participera au Forum organisé par la municipalité le samedi 6 septembre.
Notre stand sera situé en extérieur à l’entrée de l’Ogive.
Venez nous y rejoindre !
Vous l’avez tous remarqué, il a beaucoup plu en 2024. Mais plus précisément à Chevigny, qu’a-t-on mesuré ?
Les graphiques ci-dessous vous donnent la réponse. On comptabilise en effet 36% de précipitations en plus par rapport à la moyenne 1980-2010. Tous les mois ont été excédentaires sauf janvier et novembre. La palme revient au mois de mars avec plus de deux fois la norme.
Par contre, la surprise vient de ce qu’il y a eu 10% de jours de précipitations en moins par rapport à la moyenne. Cela confirme que les pluies sont bien de plus en plus intenses. Néanmoins l’année passée, lorsqu’on regarde les deux diagrammes, on s’aperçoit que février, mars, mai, septembre et octobre ont bien été des mois « pourris »; d’où cette impression de ne pas avoir pu profiter ni du printemps, ni de l’automne. Quant au mois de novembre, il a laissé un excellent souvenir ensoleillé dans la plupart des régions, mais pas dans le Val de Saône avec tous ces brouillards liés à l’anticyclone.
Espérons une année 2025 plus ensoleillée !
Voici les principaux faits saillants de cette Assemblée Générale
A la date du 11novembre 2024, ils existent 206 parcelles, réparties en 34 grandes, 139 petites et19 demi petites. 182 parcelles sont cultivées par un peu moins de jardiniers puisque certains cultivent 2 parcelles.
Rappel : quand on souhaite quitter l’association, il faut envoyer un courrier de démission à la présidente (en principe au plus tard 2 mois avant le départ). Les courriers papiers et mails sont acceptés et un formulaire de démission est disponible au chalet (mis à disposition au-dessus de la boîte aux lettres du chalet).
Les personnes qui souhaitent démissionner doivent rendre leur parcelle propre, coffre vidé, cadenas retiré et fait pour la date de l’assemblée générale.
Une parcelle a été cultivée par des jardiniers bénévoles : Mme CARREZ et M. FAVRAT, au profit de la paroisse qui élabore des repas pour des personnes en difficulté. M. FAVRAT se retire de cette action et Mme CARREZ est à la recherche de personnes pour l’aider.
Rappel de certains points du règlement :
Cette année nous avons vu apparaitre des frelons asiatiques et nous avons dû solliciter une intervention de spécialistes pour détruire un nid présent dans une parcelle non cultivée. Nous avons signalé à la mairie récemment un nid situé très haut dans les peupliers proches de la saussaie 1. Les frelons disparaissent avec le froid mais les reines reprendront leur activité dès mi-février en faisant de petits nids dans un premier temps
L’hiver, bien que moins actif que les autres saisons, reste une période cruciale pour l’entretien de votre potager. Voici quelques conseils pour vous aider à le préparer au printemps :
Paillage: C’est l’opération la plus importante. Le paillage, constitué de feuilles mortes, de compost, de paille ou d’autres matières organiques, protège le sol du gel, limite l’érosion, conserve l’humidité et favorise la vie microbienne.
Engrais vert: Semer des engrais verts (comme la moutarde, le radis fourrager) permet de fixer l’azote dans le sol, de le structurer et de le protéger des mauvaises herbes
Légumes d’hiver: Pour les légumes comme les choux, les poireaux ou les salades, protégez-les des fortes gelées avec des voiles d’hivernage ou des cloches.
Arrosage: Même en hiver, les plantes ont besoin d’eau, surtout si le temps est sec. Arrosez modérément, mais régulièrement.
Ramassage des feuilles: Enlevez régulièrement les feuilles mortes des légumes pour éviter la propagation de maladies.
Nettoyage: Enlevez les résidus de culture, les mauvaises herbes et les tuteurs.
Rotation des cultures: Planifiez la rotation de vos cultures pour éviter l’appauvrissement du sol et la propagation des maladies.
Outils: Nettoyez et rangez vos outils pour les protéger de la rouille.
Observation: Surveillez régulièrement votre potager pour détecter d’éventuels problèmes (maladies, parasites).
En résumé, l’hiver est une période propice pour préparer votre potager à la prochaine saison. En protégeant le sol, en entretenant vos cultures et en planifiant les prochaines plantations, vous assurerez une récolte abondante au printemps.
Assemblée Générale : Elle aura lieu salle Jean Froussard, le samedi 23 novembre à 9h30. Des surprises vous attendent !
Permanence encaissement des cotisations : le samedi 16 novembre matin, une permanence aura lieu pour encaisser les cotisations au chalet. Aucune cotisation ne sera acceptée lors de l’AG.
Soupe des jardiniers : Lors du Téléthon 2024, comme lors de la majorité des éditions, nous préparons notre fameuse soupe aux légumes vendue au profit du Téléthon. Rendez-vous le samedi 30 novembre en fin de matinée à l’Ogive.
L’utilisation de l’urine comme engrais pour les plantes est une pratique ancienne qui gagne en popularité parmi les jardiniers soucieux de l’environnement et de la durabilité. L’urine contient les principaux nutriments nécessaires au développement des plantes, tels que l’azote, le phosphore et le potassium. En outre, l’urine est un engrais gratuit, facilement disponible et à portée de main. Cependant, il est important de noter que l’urine doit être diluée avant d’être utilisée comme engrais pour éviter de brûler les racines des plantes1.
Pour utiliser l’urine comme engrais, il est recommandé de la diluer avec de l’eau dans un rapport de 1:10 ou 1:20, selon la plante et le stade de croissance. Il est également conseillé de combiner l’urine avec du compost ou d’autres amendements organiques pour améliorer la structure du sol et favoriser la minéralisation de l’urine.
Sources : Gerbaud.com et jardinage.lemonde.fr
Le jardinage est une activité qui requiert patience, effort et savoir-faire. Pour les amateurs de potagers, obtenir une récolte abondante et saine est une satisfaction inestimable. Cependant, cultiver un potager florissant demande plus que de simples graines et d’une terre fertile. Le paillage, souvent négligé, est une technique essentielle pour optimiser la croissance des plantes et la santé de votre jardin. Dans cet article, nous allons explorer l’art du paillage et ses nombreux avantages pour les potagers.
Qu’est-ce que le paillage ?
Le paillage consiste à couvrir la surface du sol autour de vos plantes avec un matériau organique ou minéral. Cette couverture sert à plusieurs fins cruciales dans le jardinage. Tout d’abord, elle préserve l’humidité du sol en réduisant l’évaporation de l’eau, ce qui permet de conserver l’hydratation nécessaire pour les racines. De plus, le paillis limite la croissance des mauvaises herbes en bloquant la lumière du soleil, ce qui réduit la concurrence des mauvaises herbes pour les nutriments du sol. Enfin, il agit comme un isolant thermique, maintenant une température plus stable du sol, ce qui est particulièrement bénéfique dans les régions soumises à des variations climatiques importantes.
Types de paillis
Il existe une variété de matériaux que vous pouvez utiliser pour pailler votre potager. Les plus courants sont :
Les avantages du paillage dans les potagers
Conclusion
Le paillage est une technique essentielle pour tout jardinier souhaitant optimiser la croissance de ses plantes et la santé de son potager. En conservant l’humidité, en réduisant les mauvaises herbes et en protégeant les racines des variations de température, le paillage offre une multitude d’avantages. En outre, il contribue à enrichir le sol au fil du temps, ce qui est essentiel pour des récoltes abondantes et saines. Alors, la prochaine fois que vous travaillerez dans votre potager, n’oubliez pas d’ajouter une couche de paillis pour aider vos plantes à prospérer et à s’épanouir. Votre jardin vous en remerciera.Régénérer
Le gouvernement a mis en ligne deux nouveaux sites qui nous concernent directement en tant que jardiniers.
Le premier site, VigiEau (https://vigieau.gouv.fr/), permet de savoir quels sont les restrictions qui s’appliquent en chaque point du territoire à la date du jour; il suffit pour cela de rentrer une adresse et la liste des interdictions apparait. Dès la page d’accueil, une carte de France présente la situation globale de l’état de sécheresse en France.
Le second site, Propluvia (https://propluvia.developpement-durable.gouv.fr/propluviapublic/), propose une approche plus complète de la sécheresse avec des comparaisons avec les années précédentes, une visualisation département par département ainsi qu’à l’échelle de chaque bassin et des données précises sur la situation hydrologique.
Le nom « courtilière » vient de « courtil », petit jardin en vieux français. Quant au nom « taupette », parfois utilisé, il vient de la « taupe » à laquelle l’insecte ressemble avec ses pattes fouisseuses. L’insecte fait partie de la famille des grillons d’où le nom aussi utilisé de grillon-taupe. On entend aussi parler d’écrevisse de terre.
Vous l’avez remarqué, les courtilières adorent la terre ameublie, fraiche et humide de nos semis ou plantations. Les courtilières mangent principalement des vers et autres taupins dont il semble qu’elles nous aient débarrassés. Malheureusement, dans leur progression, leurs pattes sectionnent tout se qui se trouve devant elles et en particulier les racines des jeunes plants quand elles ne retournent pas nos rangées de semis.
Avant même de planter ou semer, on peut repérer la présence de ces animaux en observant des trous d’un à deux centimètres de diamètre, ainsi que des galeries proches de la surface.
Disons le tout de suite, toutes les méthodes d’éradication trouvées sur la grande majorité des sites internet telles que le marc de café, l’huile dans les trous, les purins etc… ne fonctionnent pas. Inutile d’espérer dénicher un nid en suivant les galeries avec un doigt, cela ne fonctionne pas non plus.
Le jardinier chanceux arrivera à force de retourner la terre à en débusquer quelques unes.
Reste une dernière méthode (ouf!). Il s’agit de faire barrière à l’animal en entourant le plant avec un morceau de tuyau de gros diamètre et d’une douzaine de centimètres de hauteur. Pour ma part, j’utilise des bouteilles en plastique dont je retire le fond et le col. Une bouteille me permet de faire 2 tubes. L’idéal est de les enfoncer sur 7 à 8 cm et de laisser 2 à 3 cm au dessus du sol. Cette méthode se révèle efficace à 90%.