Dans un précédent article, j’évoquais l’utilisation d’une motobineuse fonctionnant sur batteries. Voici venu le temps de tester l’engin en conditions réelles.
Disons le tout de suite, le test est concluant. La légèreté de l’outil n’est plus à démontrer, on l’emporte facilement dans le coffre d’une voiture d’autant plus que l’encombrement est limité. Sur place, ne comptez cependant pas attaquer une parcelle toute enherbée ou dont la terre est bien sèche et dure; il ne s’agit pas d’un motoculteur, mais d’une motobineuse. Elle est idéale pour reprendre au printemps une platebande qu’on a bêché à l’automne et tout simplement pour préparer les semis.
Une profondeur de travail de 20 cm est donnée dans les spécifications. On les atteint en faisant de petits mouvements vers l’arrière qui permettent à la motobineuse de s’enfoncer plus profondément.
Voici donc un outil qui vient en complément de la bêche, de la grelinette ou d’un gros motoculteur. Attention toutefois si la terre de votre jardin est particulièrement lourde, ce qui n’est pas le cas dans les jardins de Chevigny.